Au XVIIIe s. tel que le décrit l’encyclopédie de Diderot et D’Alembert, l’arrosoir possède une forme balustre. Le canon avec ou sans pomme est ponté. L’anse tubulaire rejoint le col au tiers inférieur. Pour éviter l’usure du fond, l’arrosoir pose sur une étroite plinthe à bord roulé. Le corps forgé et assemblé par brasure à dents de loup, se compose de deux moitiés emboîtées et soudées à l’étain.
Au XIXe s. la forme ovale prédomine. Le corps est forgé d’une seule pièce et l’anse rejoint le devant du plateau à la base opposée.
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